La droite s’oppose à l’article 3 du projet de loi sur l’immigration, qui prévoit de créer une carte de séjour d’un an pour les étrangers travaillant clandestinement dans des secteurs en pénurie de main-d’œuvre. Les membres de LR menacent de déposer une motion de censure pour bloquer le projet de loi.
Le gouvernement, de son côté, défend les deux dimensions du projet : une approche « humanitaire » avec les régularisations et une approche « ferme » contre l’immigration illégale. Après l’attentat d’Arras, le gouvernement présente le projet comme une solution pour prévenir de telles situations.
La droite estime que l’attaque justifie un renforcement de la fermeté en matière migratoire. Cependant, l’aile gauche de la majorité soutient l’article 3 et rappelle que tous les étrangers ne sont pas des terroristes ou des délinquants potentiels.
La question de la suppression de l’article 3 reste en suspens, avec des déclarations divergentes du président de la commission des lois et du cabinet du ministre de l’Intérieur. Le projet de loi immigration sera débattu au Sénat le 6 novembre avant d’être examiné à l’Assemblée nationale.
Sur le site « Super Speedway », nous vous tenons informés de l’actualité politique et sociale. Aujourd’hui, nous vous rapportons les derniers développements autour du projet de loi sur l’immigration en France.
Dans un article publié récemment, nous avons mis en évidence le désaccord qui règne entre les membres de la droite et le gouvernement concernant l’article 3 de cette loi. La droite s’oppose fermement à la création d’une carte de séjour d’un an pour les travailleurs clandestins dans des secteurs en pénurie de main-d’œuvre. Avec cette mesure, le gouvernement cherche à résoudre la problématique de l’immigration illégale tout en offrant une solution « humanitaire » pour les étrangers en situation précaire.
Face à cette opposition, les membres du parti Les Républicains menacent de déposer une motion de censure pour bloquer le projet de loi. Ils estiment que l’attentat d’Arras, survenu récemment, justifie un renforcement de la fermeté en matière migratoire.
Cependant, il convient de noter que cette position n’est pas partagée par l’ensemble de la majorité au pouvoir. L’aile gauche soutient, quant à elle, l’article 3 et rappelle que tous les étrangers ne doivent pas être assimilés à des terroristes ou à des délinquants potentiels.
Au sein même du gouvernement, des divergences se font également sentir. Tandis que le président de la commission des lois affiche son soutien à la suppression de l’article 3, le cabinet du ministre de l’Intérieur prend une position opposée.
Le projet de loi sur l’immigration sera débattu au Sénat le 6 novembre avant d’être examiné à l’Assemblée nationale. Restez connectés sur « Super Speedway » pour suivre les dernières évolutions de cette affaire et pour rester informés de l’actualité politique en France.
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